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Saya Becuwe

14 mars 2013

Eternal Eve - March 2013 - Galleria Pall Mall - London

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8 décembre 2012

Triennial of Paris - January 2013 - Cité internationale des Arts

8 décembre 2012

2012

Saya Becuwe - 2012 la mariée sortie des eaux - acrylique sur bois - 105 X 94,5

La mariée sortie des eaux
The bride out of the waters
2012 acryl on wood 105x94,5

 

2012 fresque à l'animal acrylique sur bois 105 x 90

Fresque à l'animal
Fresco with the animal
2012 acryl on wood 105x90

 

Saya Becuwe - Joséphine, portrait au chat - 2012 - acrylique sur bois - 130x80

Joséphine, portrait au chat
Joséphine, portrait with the cat
2012 acryl on wood 130x80

 

2 Femmes 2012 acrylique sur bois 105 x 90

Deux femmes
Two women
2012 acryl on wood 105x90

 

2012 la caverne acrylique sur bois 54 x 27

La caverne
The cave
2012 acryl on wood 54x27

 

2012 acrylique sur bois 92 x 80 Assise au bord de l'eau

Assise au bord de l'eau
Sitting by the water
2012 acryl on wood 92x80

 

2012 acrylique sur toile 60 x 50 Maëlle , portrait aux signes

Maëlle, portrait aux signes
Maëlle, portrait with signs
2012 acryl sur toile 60x50

 

2012 Robe blanche acrylique sur bois 40 x 38

Robe blanche
White dress
2012 acryl on wood 40x38

 

2012 Mariée acrylique sur bois 40 x 38

Mariée
Bride
2012 acrylique on wood 40x38

 

2012 acrylique sur bois 50 x 50 Femme au chimpanzée

Femme au chimpanzé
Woman with a chipanzees
2012 acryl on wood 50x50

 

2012 Fauve acrylique sur toile 81 x 65

Fauve
Fawn
2012 acryl on canvas 81x65

 

2012 acrylique sur bois 50 x 50 Couples

Couples
Couples
2012 acryl sur bois 50x50

 

26 octobre 2012

Pierre Zimmerman's speech

Opening speech of "Saya Becuwe and Thai Art" exhibition

Pour débuter mon intervention, je ne peux ignorer l’un des préceptes du bouddhisme : « S’efforcer de ne pas user de paroles inutiles  ». Je vais donc être aussi bref que possible.

Je pense aussi  utile de citer Bouddha lui-même : « Doutez de tout et surtout de ce que je vais vous dire ».

Il y a un doute toutefois  que nous ne devons pas avoir, c’est l’excellente harmonie qui règne entre les œuvres picturales de Saya Becuwe et les sculptures de l’Art Thaï qui animent et rythment cette  exposition. Un choix de mise en résonnance que nous avions fait et que nous espérions judicieux lors de la préparation de cette exposition.

Entre la tâche impressionnante assignée aux sculpteurs pour rendre la puissance, la beauté, la spiritualité de divinités intangibles et invisibles et celle à laquelle Saya s’est consacrée pour nous faire partager son inspiration contemplative de la nature et des lacs, il y a une sorte de lien qui pour notre plus grande joie, transcende notre émotion.

L’apparente quiétude des eaux tranquilles des tableaux de Saya, dans leur originale verticalité, appelle à l’élévation et à la spiritualité, et d’une certaine façon me fait penser à l’un des huit symboles auspicieux du bouddhisme, la fleur de lotus qui flotte sur l’eau après y avoir pris racine et qui représente la progression de l’âme, du matérialisme à l’eau de l’expérience, avant d’atteindre le soleil de l’illumination.

Cette illumination que les changements de lumière des tableaux ou du spectre des couleurs utilisées pas Saya  nous engagent à atteindre. La présence dans certains tableaux de textes, écrits dans une cryptographie inconnue qui intrigue, invite à la recherche de la connaissance et à la méditation et rejoint là aussi les pratiques bouddhistes.

Saya nous dit que ces eaux-miroir sont comme un double de la réalité. L’invisible de vient réalité, l’abstrait rencontre le figuratif, l’impression se concrétise, l’immuable côtoie l’éphémère, les émotions, les passions de l’artiste sont livrées sans égotisme au public qui est invité, dans la sérénité, à partager une vision d’un monde que s’est construit l’artiste avec son talent, sa sensibilité et son inspiration.

Les bronzes figés dans la perfection d’un style consacré et immuable répondent à la liberté d’expression de Saya et témoignent de la permanence de l’art à travers le monde et les siècles.

« Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées , nous bâtissons notre monde. » A cette citation de Bouddha, j’ajouterai pour terminer : partageons ce monde que nous bâtissons avec nos pensées et comme le fait ce jour Saya acceptons d’échanger nos émotions avec d’autres et avec le dieu Ganesch levons les obstacles de l’illusion et de l’ignorance.

Pierre Zimmermann, Adjoint à la culture  

Espace Culturel de Bondues, le 29 janvier 2011

7 octobre 2012

Salon d'automne in Israël - November 2012 - Tel Aviv

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6 octobre 2012

Venice

Between dream and reality, a strange feeling of time, of a dragged on past, of a special history.

But also a felling of illusion, of a possible extinction, of fragility.

Venise embodies the mystery of destiny.

6 octobre 2012

Clouds

Every feeling can match a landscape.

Those clouds, constantly changing, 

are a symbolic picture of life. Its nature, and its history.

This meeting, I settle it on the canvas.

6 octobre 2012

Lakes. Intimate resonance

Saying the apparent tranquillity of waters, of waterlines,

of a mountain battlement, of a comforting enclosure.

The change of light and colors,

the reflecting waters, as a copy of reality,

the reflects transforming the landscape,

the mysterious depths,

the invisible part.

Beyond their beauty,

these landscapes are the scene of a symbolic contrast between unchanging and fleeting.  

 

 

6 octobre 2012

Continuation on memory

A commitment into the deepest memory. 

Made of encounters, absence, recollection, oblivion,

to get linked to our history.

 

Using the print to be part of Time.

The sign as a symbol of human, thought and language.

 

Image-writing to evoke the presence.

Enigma-writing for what can't be said.

Unkown writing for vanished worlds.

To read oneself.

 

 

6 octobre 2012

The age of origins

An imaginary representation of Time, of human history, from its origins.

In view of this infinity, the canvas is a space where marks can be fixed. 

With its vertical size and lignes which strech beyond the frame like roots. 

Going back in time, returning to basics. A persuit of identity.

An horizontal size to express the crossing threw history of generations from the first humans as they mark our deep memory. 

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Saya Becuwe
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